Indicateur |
Valeur |
Tendances et comparaisons |
Constatations |
Pourcentage de patients sachant: |
les signaux de danger à surveiller |
- malades hospitalisés
- patients des urgences
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la raison pour laquelle ils doivent prendre des médicaments à la maison |
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comment prendre de nouveaux médicaments |
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les effets secondaires des médicaments à surveiller |
- malades hospitalisés
- patients des urgences
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quand reprendre leurs activités habituelles |
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qui appeler pour obtenir de l’aide |
- malades hospitalisés
- patients des urgences
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59 %*
51 % |
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80% |
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83 % |
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64 %
70 % |
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52 % |
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80 %
62 % |
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Une forte proportion de patients ne reçoit pas ou ne comprend pas l’information dont ils ont besoin quand ils quittent l’hôpital ou les urgences. Par exemple, seulement cinq patients des urgences sur 10 connaissent les signes de danger à surveiller à la maison et seulement six patients sur 10 savent qui appeler s’ils ont besoin d’aide. Environ la moitié des patients de l’hôpital ne sait pas quand reprendre les activités normales. Et bien que huit patients sur 10 sachent comment prendre leurs médicaments, le tiers environ ne connaît pas les effets secondaires à surveiller. Ces taux n’ont pas évolué depuis quatre ans. Il y a d’énormes améliorations à faire. |
Pourcentage d’adultes plus malades** ayant indiqué que leur médecin attitré/généraliste semblait être au courant des soins qui leur ont été dispensés à l’hôpital ou après une chirurgie. |
69 %** |
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En Ontario, un peu plus des deux tiers des adultes plus malades hospitalisés ou opérés au cours des deux dernières années estimaient que leur médecin attitré semblait être au courant des soins qu’ils ont reçus à l’hôpital. Les taux étaient similaires pour les patients hospitalisés (68 %) et ceux qui avaient subi une chirurgie sans être hospitalisés (70 %). L’Ontario affiche une performance médiocre pour cet indicateur; la province enregistre l’un des pires résultats, au Canada et sur la scène internationale. Des pays comme la Suisse, le Royaume-Uni et les États-Unis ont atteint des résultats plus élevés dans ce domaine (83 %, 83 % et 84 % respectivement). Il y a de grandes améliorations à faire. |
Pourcentage d’adultes plus malades** ayant indiqué que leur médecin attitré/généraliste semblait être au courant des soins qu’ils ont reçus d’un spécialiste/consultant |
73 %** |
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En Ontario, 73 % des adultes plus malades qui ont vu un spécialiste/consultant ont dit que leur médecin attitré semblait être au courant des soins qu’ils ont reçus d’un spécialiste/consultant. Il n’y a pas d’écart entre la performance de cet indicateur au Canada. Cependant, sur la scène internationale, un certain nombre de pays, dont la Suisse et le Royaume-Uni, ont enregistré de meilleurs résultats (87 % et 88 % respectivement), ce qui signifie qu’il y a de grandes améliorations à faire. |
Pourcentage d’adultes plus malades** qui ont été hospitalisés au cours des deux dernières années et : |
- ont reçu des instructions très claires au sujet des médicaments qu’ils devraient prendre
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- pour lesquels le personnel a pris des dispositions pour un suivi après une visite chez le médecin/généraliste ou un autre professionnel de la santé
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- ont reçu un plan écrit du personnel de l’hôpital pour les soins à suivre après la sortie de l’hôpital/une chirurgie
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- savaient qui contacter en cas de question au sujet de leur état ou traitement
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- ont reçu des instructions précises au sujet des symptômes à surveiller et soins de suivi
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86 %** |
74 %** |
72 %** |
88 %** |
84 %** |
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Parmi les adultes plus malades hospitalisés en Ontario, 86 % ont indiqué avoir des instructions très claires au sujet des médicaments qu’ils devraient prendre.
Seulement 74 % of adultes plus malades ont fait l’objet de dispositions pour un suivi après une visite chez leur médecin attitré.
Un peu plus de sept adultes plus malades sur 10 ont indiqué avoir reçu un plan de soins par écrit de l’hôpital à la sortie et environ neuf sur 10 savaient qui contacter en cas de question au sujet de leur état ou traitement.
84 % d’adultes plus malades ont reçu des instructions claires au sujet des symptômes à surveiller et des soins à recevoir le cas échéant. Compte tenu de l’importance d’une bonne coordination et de son incidence sur la santé, il y a encore des améliorations à faire dans ce domaine. . |
Pourcentage d’adultes plus malades** qui ont répondu « oui » à toutes les questions de coordination susmentionnées |
51 %** |
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Seulement la moitié des adultes plus malades hospitalisés reçoivent toute l’information nécessaire lorsqu’ils quittent l’hôpital. Bien que l’Ontario se situe seulement dernière les États-Unis (68 %) et le Royaume-Uni (72 %), affichant des résultats relativement bons pour cet Indicateur, au Canada et sur la scène internationale, il y a encore une forte proportion d’adultes plus malades qui ne reçoivent pas l’information dont ils ont besoin lorsqu’ils quittent l’hôpital. Il y a de grandes améliorations à faire. |
Pourcentage d’adultes plus malades** qui ont répondu qu’il y a une personne responsable de tous les soins reçus de divers médecins |
68%** |
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Moins de sept patients sur 10 ayant au moins une maladie chronique ont indiqué qu’une personne coordonnait tous les soins prodigués par divers médecins. La province affiche des résultats relativement bons au Canada et sur la scène internationale. Cependant, environ le tiers des patients n’a pas de personne responsable de la coordination des soins. L’Ontario pourrait aspirer à égaliser les résultats enregistrés au Royaume-Uni, soit 75 %. |
Taux de visites médicales effectuées 30 jours après que les patients quittent l’hôpital après avoir été hospitalisés pour des problèmes de : |
- santé mentale et toxicomanie
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- schizophrénie et troubles bipolaires
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Environ un patient sur trois ne reçoit pas le suivi recommandé de la part de son médecin de soins primaires dans les 30 jours qui suivent une hospitalisation pour un problème de santé mentale ou de toxicomanie. La situation n’a pas beaucoup évolué au cours des quatre dernières années. Le faible taux des soins primaires de suivi pourrait donner lieu à un retour aux urgences ou à une nouvelle hospitalisation
Par comparaison, presque tous les patients ontariens qui quittent l’hôpital après un infarctus aigu du myocarde ou une défaillance cardiaque ont été vus par un médecin dans les quatre semaines qui ont suivi leur sortie de l’hôpital.16 Cela signifie qu’une amélioration est nécessaire.
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Pourcentage de patients victimes d’un AVC qui quittent un hôpital de soins actifs pour être hospitalisés dans un centre de réadaptation |
30 %§ |
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Un peu moins d’un tiers des patients victimes d’un AVC sont hospitalisés dans un centre de réadaptation après avoir reçu des soins actifs. La situation n’a pas beaucoup évolué au cours des cinq dernières années. Étant donné que le point de référence pour les patients victimes d’un AVC qui doivent être hospitalisés dans un centre de réadaptation est de 41 %,17 il y a des améliorations à faire.
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